Notre interview en deux questions de la photographe attitrée des backstages des cabarets transformistes tels que Maman, Edna, Mademoiselle.
Comment Deborah est-elle devenue photographe et qu’est-ce qui la poussée à s’intéresser aux coulisses, aux loges des cabarets transformistes belges, bruxellois.
« 𝘿𝙚𝙪𝙭 𝙦𝙪𝙚𝙨𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙖̀… », consacré à Deborah Gigliotti
Deborah est photographe backstages dans les cabarets transformistes belges. Après des études secondaires artistiques, orientées dans la pub, Deborah se consacre au marketing puis vite dans la photographie d’art.
Deborah s’intéresse à ce milieu car elle refuse les notions de normes, ce qui intéresse Deborah c’est le côté humain, le côté libre de la vie de chacun.
Elle s’intéresse également à la phase de métamorphose par laquelle les hommes et les femmes passent dans les coulisses. Bien plus que pour tout aurte spectacle, elle revêt un caractère intime, où se même spectacle et ressenti personnel, liberté et délivrance… pour quelques instants du mions.
C’est un peu à chaque fois la naissance, la mutation de la personne vers son personnage.
« On peut-être ingénieur la nuit et transformiste le soir ». Chacun doit pouvoir décider de sa vie et la vivre comme il l’entend sans préjugés, sans aucune référence à une quelconque norme.
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